Nouvelles:

Pour des raisons de sécurité, les liens hypertexte sont bloqués pour vos 2 premiers posts et inactifs pour vos 10 premiers posts. Merci de votre compréhension.

Graviton: Asuka Kisaragi la Kuroshi Rider

Démarré par Wizzy, 01 Août 2023 à 18:00:44

« précédent - suivant »

Wizzy

01 Août 2023 à 18:00:44 Dernière édition: 02 Août 2023 à 17:01:10 par Wizzy
Hello la Sphère,

Voici la traduction de la vidéo résumé en un article sur l'histoire de Asuka Kisaragi par Graviton.



# Asuka Kisaragi, de motarde rebelle à incarnation de la mort



Citation[Lore] Asuka Kisaragi - Kuroshi Rider

Aujourd'hui, nous parlons de la plus redoutable Sukeban de Kuraimori, du chef du régiment d'aragoto ou du spectre vengeur ? À vous de décider La pin-up d'Asuka Kisaragi dans cette vidéo appartient à Florian Stitz @FlorianStitzArt.


Pensez à activer l'auto-traduction en français des sous-titres en espagnol si besoin.


Intro

Dans cet article, nous allons découvrir l'histoire d'Asuka Kisaragi, un personnage du jeu Infinity the Game de Corvus Belli. Nous verrons comment cette ancienne chef de gang de motards est devenue une soldate d'élite du Japon Indépendant, puis une mystérieuse guerrière cybernétique connue sous le nom de Kuroshi Rider.


## Asuka Kisaragi, la reine des U-Ladies


Asuka Kisaragi est née sous le signe des ennuis. Fille d'un père absent et d'une mère alcoolique, elle a grandi dans les bas-fonds de la ville de Kofuku sur Kuraimori, une île sur la planète Shentang, où la violence et la misère régnaient. Elle a vite appris à se battre pour survivre, à se faire respecter par la force et à ne compter que sur elle-même.

Elle a trouvé sa voie dans les gangs de motardes appelé là-bas les Bosozoku équivalent social des Yakusa, qui lui offraient un sentiment d'appartenance, de liberté et d'adrénaline. Elle a rejoint les U-Ladies du Kofuku Toritsu Murasaki Kotogakko, une bande exclusivement féminine qui dominait la scène sociale locale. Elle s'est imposée comme la sukeban de sa bande, c'est-à-dire comme la leader incontestée de ce groupe de filles rebelles, qui n'avaient peur de rien ni de personne.

Asuka Kisaragi était la meilleure en tout : elle était belle, intelligente, charismatique et intrépide. Elle menait ses U-Ladies dans des activités illégales, comme l'extorsion, le trafic de drogues de synthèse ou les courses de motos illégales. Elle aimait le danger, le risque et la vitesse. Elle était la reine de la nuit et de l'asphalte, qui faisait tourner les têtes et trembler les cœurs à travers la ville de Kofuku.

Mais elle n'était pas qu'une simple délinquante. Elle avait aussi un sens de l'honneur, un code moral et une loyauté sans faille envers ses amies. Elle se considérait comme une véritable Bosozoku, une motarde hors-la-loi qui suivait les règles d'honneur des chefs de bande. Elle protégeait les siennes contre les menaces extérieures, et elle leur rendait justice en cas de trahison.

Elle était admirée, crainte et enviée par tous. Mais elle ne se souciait pas de l'opinion des autres. Elle vivait pour elle-même, pour ses passions et pour ses rêves. Elle ne voulait pas se conformer aux attentes de la société impériale Yu Jing, dont le Japon faisait encore partie. Elle ne voulait pas être une citoyenne modèle, une épouse soumise ou une mère dévouée. Elle voulait être libre, indépendante et unique.


## Asuka Kisaragi, la recrue du régiment Aragoto


Mais sa liberté avait un prix. Un jour, elle fut arrêtée par les forces impériales, qui avaient décidé de faire le ménage dans les gangs de la ville. Elle fut accusée de multiples crimes, et elle risquait la prison à vie. Mais elle eut une chance inespérée : on lui proposa de choisir entre la cellule ou le service militaire au sein du régiment Aragoto.

Elle n'hésita pas une seconde. Elle préféra enfourcher sa moto et servir l'État impérial que croupir derrière les barreaux pour le reste de sa vie. Elle accepta donc de rejoindre le régiment Aragoto, une unité d'élite du Japon qui combattait sur des motos blindées et armées. Elle pensait y retrouver la même sensation de vitesse et d'adrénaline qu'elle aimait tant.

Mais elle découvrit vite que le cadeau du Service Impérial n'était pas une partie de plaisir, du fait des codes très rigides de l'armée japonaise. Elle dut se plier à la discipline, à la hiérarchie et aux ordres. Elle dut affronter des ennemis redoutables, comme les PanOcéaniens ou les Ariadnais. Elle dut risquer sa vie pour une cause qui n'était pas la sienne.

Elle n'était pas la bienvenue dans le régiment Aragoto. Elle était considérée comme une criminelle, une rebelle, une indésirable. Elle était méprisée par ses supérieurs, qui la traitaient comme une chair à canon, avec la nuance que la JSA était déjà considérée elle-même comme de la chair à canon pour Yu Jing. Elle était même jalousée par ses camarades, qui la voyaient comme une rivale.

Mais elle ne se laissa pas abattre. Elle fit preuve d'un courage, d'une audace et d'un talent exceptionnels sur le champ de bataille. Elle remporta des victoires éclatantes contre les ennemis de Yu Jing et du Japon. Malgré son handicap d'avoir été issue d'un recrutement pénal, elle gravit les échelons jusqu'à devenir Jun-i, officier en second, car les talents de cette ex-bikeuse, démontrés dans chacune des opérations auxquelles elle a participé, étaient trop évidents pour être ignorés par ses commandants. Elle devint ainsi un symbole médiatique des capacités de réinsertion du Service Impérial à travers la JSA, et une icône propagandiste du Ministère de l'Information Yu Jing.


Mais elle détestait qu'on l'utilise. Elle ne se reconnaissait pas dans l'image que le Service Impérial voulait lui donner. Elle ne se sentait pas loyale envers Yu Jing, qui opprimait le Japon. Elle ne se sentait pas fière de ses exploits, qui lui coûtaient la vie de ses amis. Elle ne se sentait pas heureuse de sa situation, qui l'éloignait de ses rêves.

Elle voulait retrouver sa liberté, son indépendance et son identité. Elle voulait revoir ses U-Ladies, ses Bosozoku et sa moto. Elle voulait être Asuka Kisaragi, la reine des motardes, et non pas Asuka Kisaragi, la soldate modèle, car cette ancienne reine du côté obscur du lycée ne vivait que pour la vitesse et se devait toujours d'être la meilleure en tout, la foudre humaine sur deux roues, la championne la plus sexy de toutes les compétitions.


## Une héroïne malgré elle du Japon Indépendant

Contre toute attente, Asuka Kisaragi a su s'imposer dans l'armée japonaise, réputée pour sa rigidité et son élitisme. Elle a fait preuve de courage, d'audace et de talent dans chaque opération à laquelle elle a participé. Elle a gravi les échelons jusqu'à devenir Jun-i, officier en second. Elle est devenue un symbole médiatique des capacités de réinsertion pénal, et une icône propagandiste du Ministère de l'Information.


Mais Asuka détestait qu'on l'utilise. Elle ne pouvait pas s'empêcher d'être la meilleure en tout, mais elle restait fidèle à son esprit rebelle et à son code d'honneur de Bosozoku. Quand le Japon s'est soulevé contre Yu Jing pour proclamer son indépendance, elle a rejoint les forces séparatistes japonaises. Elle a combattu sur Kuraimori, l'île japonaise située sur Shentang, la planète principale de Yu Jing. Elle a défendu la population civile contre les attaques impériales, en attendant que les évacuations soient possibles et cela avec courage et audace jusqu'à sa... disparition.


### Une légende vivante du Japon résistant


Asuka Kisaragi fut l'une des protagonistes de la bataille pour Kuraimori, l'île japonaise située sur la planète Shentang, la planète principale de Yu Jing, où se déroula une partie du Soulèvement du Japon contre l'État-Empire de Yu Jing et où se trouvait également l'empereur du Japon sous surveillance. Cette bataille fut l'un des points culminants de la guerre civile qui opposa les forces loyalistes de Yu Jing et les forces séparatistes japonaises, soutenues par d'autres nations.

Asuka Kisaragi faisait partie du régiment Aragoto, une unité d'élite du Japon qui combattait sur des motos blindées et armées. Ce régiment était composé de soldats professionnels, mais aussi de recrues pénales, comme Asuka, qui avaient accepté de servir l'Etat-Empire en échange de leur liberté. Le régiment Aragoto était réputé pour sa bravoure, sa rapidité et sa mobilité.

Le régiment Aragoto fut déployé à Kofuku pour la défendre contre l'invasion des forces loyalistes, qui voulaient reprendre le contrôle des territoires japonais. Le régiment Aragoto fut chargé de protéger les civils japonais, qui étaient pris au piège entre les deux camps. Le régiment Aragoto fut aussi chargé d'harceler les lignes arrières ennemies, de saboter leurs communications et de créer des diversions.

Asuka Kisaragi se distingua comme toujours par son courage, son audace et son talent lors de cette bataille. Elle mena ses hommes dans des raids audacieux contre les positions loyalistes, infligeant de lourdes pertes à l'ennemi. Elle sauva de nombreux civils japonais, en les évacuant vers des zones sûres ou en les escortant vers les secours. Elle inspira ses camarades par son charisme, sa détermination et son sens du sacrifice qui permirent de contribuer au ralentissement de la prise de la région.

Mais elle paya cher son héroïsme. Lors de l'assaut Kanadzuchi, où elle conduisit les Aragoto dans un élan mortel vers les portes de l'enfer, sous les tirs croisés les plus violents que l'unité avait jamais vu, elle parvint à paralyser l'attaque de l'État-Empire, sauvant ainsi l'île d'Okinawa et permettant au Japon de devenir indépendant, mais au cours de cette action elle fut gravement blessée par une explosion, qui lui arracha le bras droit. Elle disparue et fut déclarée pour morte sur le champ de bataille, et son corps fut récupéré par les services sanitaires du Japon séparatiste. Elle fut en fait transportée vers un centre médical secret, où elle fut soumise à une opération expérimentale.


Elle reçut un bras cybernétique, doté d'une capacité de traitement quantronique et d'un lien encephalique avec une arme programmable. Ce bras lui conférait une force, une vitesse et une précision surhumaines. Il lui permettait aussi de contrôler son arme, une Faux, qui pouvait changer de forme selon ses besoins. Cette opération faisait partie du projet Shichiroji, un programme secret du Japon séparatiste visant à créer des supersoldats.

Asuka Kisaragi accepta ce bras sans hésiter malgré les impacts sur sa vie. Elle voulait retourner au combat le plus vite possible, pour venger ses hommes tombés à Kuraimori et les derniers Bosozoku qui étaient tombé face à Yu Jing. Elle voulait aussi honorer son code d'honneur de Bosozoku, qui lui imposait de rester fidèle à ses Bushi et à ses U-Ladies. Elle voulait enfin prouver qu'elle était toujours la meilleure en tout, et qu'elle n'avait pas peur de la mort.

Perdant son identité officielle, elle devint ainsi la Kuroshi Rider, la Mort Noire, et devint une figure d'officier énigmatique du régiment Aragoto. Elle reprit le combat avec une rage et une férocité décuplées. Elle mena ses hommes dans des missions suicidaires contre les forces loyalistes, semant la terreur et la mort sur son passage. Sa valeur et sa maîtrise tactique rappelaient celles d'Asuka Kisaragi, mais avec une attitude plus impitoyable et sans pitié. Ceux qui ont combattu à ses côtés disent qu'elle semblait insensible aux balles, comme si son corps était fait de fumée. Elle devint une légende vivante parmi les séparatistes japonais, qui la considéraient comme le fantôme vengeur d'Asuka Kisaragi. Certains motards jurent même que sa visière ne cache pas du tout son visage ; qu'elle est une yūrei, un fantôme condamné à se battre pour les Aragoto jusqu'à ce qu'elle puisse laver sa culpabilité d'avoir échoué dans la bataille fatidique qui a dévasté le berceau de la culture Bōsōzoku. D'autres pensent qu'Asuka Kisaragi s'est simplement remise de ses blessures et a choisi de porter le casque en guise de pénitence pour l'inévitable défaite de Kofuku. De toute évidence, elle ressemble à une apparition vengeresse, car elle déchire l'asphalte de sa moto

Personne en dehors de l'état majors japonais ne saurait dire qui se cache derrière ce casque, ni si c'est vraiment Asuka Kisaragi qui a survécu à ses blessures et qui cache son visage par pénitence, car elle se refuse à toute communication à ce sujet. Mais une chose est sûre : quand elle apparaît sur sa moto, avec sa faux qui fait des étincelles sur le sol, elle ressemble à la mort elle-même sur deux roues.


## Avis de Graviton


Voici un possible résumé par point par point de ce que pense Graviton de l'histoire et du personnage d'Asuka :

- L'auteur est un fan d'Infinity, le jeu de figurines dont est tirée l'histoire d'Asuka Kisaragi et de Kuroshi Rider.
- L'auteur a lu les livres de référence N3 Human Sphere et Uprising, qui contiennent les informations sur Asuka Kisaragi et le soulèvement du Japon.
- L'auteur a mentionné les Bosozoku, qui sont des bandes de motards japonais, souvent impliqués dans des activités illégales et violentes. Il a dit qu'Asuka Kisaragi était la la leader, de sa bande de motardes, les U-Ladies.
- L'auteur a évoqué le code d'honneur des Bosozoku, qui leur impose de rester fidèles à leurs Boushi et à leurs U-Ladies. Il a dit qu'Asuka Kisaragi voulait honorer ce code en vengeant ses hommes et les Bosozoku tombés à Kuraimori.
- L'auteur a cité le Yurei, qui est un fantôme japonais, souvent associé à une mort violente ou injuste. Il a dit que beaucoup de séparatistes japonais croyaient que Kuroshi Rider était le Yurei d'Asuka Kisaragi, revenu pour se venger.
- L'auteur a nommé le projet Shichiroji, qui était un programme secret du Japon séparatiste visant à créer des supersoldats. Il a dit que ce nom faisait référence aux sept samouraïs, un film classique du cinéma japonais, réalisé par Akira Kurosawa.


## Référence culturelle

- Akira : Ce manga et film d'animation culte de Katsuhiro Otomo raconte l'histoire de jeunes motards dans un NeoTokyo post-apocalyptique. Comme Asuka Kisaragi, les personnages principaux sont des délinquants scolaires, impliqués dans des activités illégales et violentes. Ils sont confrontés à des forces supérieures, qui veulent les utiliser ou les éliminer.

- Ghost in the Shell : Ce manga et film d'animation de Masamune Shirow raconte l'histoire de Motoko Kusanagi, une cyborg qui travaille pour une unité d'élite de la police japonaise. Comme Asuka Kisaragi, Motoko Kusanagi est une femme forte, intelligente et indépendante, qui doit faire face à des ennemis redoutables. Elle est équipée d'un corps cybernétique, qui lui confère des capacités surhumaines.

- Durara : Au-delà de sa nouvelle sculpture, il y a des similitudes entre l'histoire d'Asuka Kisaragi et celle de Celty Sturluson de Durarara!! Les deux personnages sont des femmes fortes et indépendantes, qui ont un lien fort avec les motos. Asuka Kisaragi était la leader d'une bande de motardes, tandis que Celty Sturluson est une motarde professionnelle qui utilise sa moto pour effectuer des missions.
Les deux personnages ont subi des transformations physiques importantes. Asuka Kisaragi a perdu son bras droit et l'a remplacé par un bras cybernétique, tandis que Celty Sturluson est une Dullahan, une créature mythologique irlandaise qui n'a pas de tête et porte sa tête sous son bras.
Les deux personnages sont impliqués dans des conflits violents et dangereux. Asuka Kisaragi a participé à la bataille pour Kuraimori, où elle a combattu contre les forces loyalistes de l'Etat impérial Yu Jing, tandis que Celty Sturluson est impliquée dans les conflits entre les gangs de Ikebukuro, un quartier de Tokyo.
Enfin, les deux personnages ont des identités secrètes. Asuka Kisaragi est devenue Kuroshi Rider, l'officier énigmatique du régiment Aragoto, tandis que Celty Sturluson cache son visage sous un casque intégral pour dissimuler son absence de tête.




···− ·· ···− ·  ·−·· ·−  ··· ··− ·−−· ·−· · −− ·− − ·· ·  −− ·−− −−− ··− ·− ···· ·− ···· ·− ···· ·− ···· ·−